Dans ce dataset, presque tous les pays de l'OCDE compilent leurs données suivant le Système de Comptabilité Nationale 2008 (SCN 2008).
Le lien vers le fichier "ANA_changes.xls" est disponible pour les utilisateurs, afin de fournir des informations quant à l'état d'avancement du changement vers le SCN 2008 des pays membres et non-membres.
Le guide du lecteur donne des informations générales sur le dataset et sur les critères retenus pour celui-ci.
Les salaires et rémunérations provenant de l’étranger sont perçus par des personnes qui vivent et consomment principalement sur le territoire économique mais qui travaillent à l’étranger. (Ce phénomène est assez courant dans les régions frontalières). Les salaires et rémunérations provenant de l’étranger peuvent également être perçus par des personnes qui vivent et travaillent à l’étranger pour une période courte (comme les travailleurs saisonniers) mais dont le centre d’intérêt économique reste dans le pays d’origine. Les travailleurs expatriés et les travailleurs émigrés qui travaillent à l’étranger pour 12 mois ou plus sont considérés comme faisant partie de la population résidente du pays où ils travaillent. Parfois ces personnes envoient une partie de leurs revenus à des proches dans leur pays d’origine, mais ces transferts de fonds sont considérés comme des transferts entre des ménages résidents et des ménages non-résidents et sont enregistrés dans le revenu disponible national et non dans le revenu national.
Les revenus de la propriété provenant de/allant vers l’étranger comprennent les intérêts, les dividendes et tout ou partie des bénéfices non distribués des entreprises étrangères appartenant à des résidents (et vice et versa).
Dans la plupart des pays, la plus grande partie de la différence entre PIB et RNB s’explique par les revenus nets de la propriété reçus de l’étranger. Cependant, il est important de noter que les bénéfices non distribués des entreprises éttrangères détenues par des résidents ne reviennent pas en réalité au resident concerné. Néanmoins, les bénéfices non distribués sont enregistrés comme une ressource du revenu de la propriété. La contrepartie du même montant est traité comme transaction financière (un réinvestissement de revenus à l'etranger en actions et autres participations).
Dans la plupart des pays, la plus grande partie de la différence entre le PIB et RNB s'explique par les revenus nets de la propriété reçus de l'étranger. Cependant, il est important de noter que les bénéfices non distribués des entreprises étrangères appartenant à des résidents en fait ne reviennent pas aux résidents concernés. Néanmoins, les bénéfices non distribués sont enregistrés en reçus du revenu de la propriété. La contrepartie du même montant est considérée comme une transaction financière (un réinvestissement des bénéfices à l'étranger en actions et autres actifs).
Les pays qui effectuent de nombreux investissement directs à l'étranger vont donc dans certains cas apparaître comme des pays bénéficiant de revenus de la propriété importants et donc d'un RNB élevé. Cependant, dans les faits, une grande partie des revenus de la propriété ne vont pas revenir vers le pays d'origine et vont plutôt contribuer à l'investissement direct étranger.
Suite à l'introduction du SCN 2008, l'augmentation des niveaux du RNN sont plus modérés que ceux du PIB principalement parce que la RNN est ajustée pour l'amortissement. En effet, ces changements de niveaux plus modérés résultent du niveau plus élevés de la dépréciation elle-même induite par des niveaux des dépenses de R&D (recherche et développement) et du système d'armes plus élevés.
Comparabilité
La comparabilité est bonne, toutefois, il existe de nombreuses difficultés pratiques pour mesurer les flux internationaux de salaires et de rémunérations, les flux des revenus de la propriété ainsi que l’amortissement. C’est pour cette raison que le PIB par tête est le plus souvent utilisé comme indicateur des revenus ou du bien-être, bien que dans ce contexte il soit théoriquement inférieur au RNN ou RNB.
Les salaires et rémunérations provenant de l’étranger sont perçus par des personnes qui vivent et consomment principalement sur le territoire économique mais qui travaillent à l’étranger. (Ce phénomène est assez courant dans les régions frontalières). Les salaires et rémunérations provenant de l’étranger peuvent également être perçus par des personnes qui vivent et travaillent à l’étranger pour une période courte (comme les travailleurs saisonniers) mais dont le centre d’intérêt économique reste dans le pays d’origine. Les travailleurs expatriés et les travailleurs émigrés qui travaillent à l’étranger pour 12 mois ou plus sont considérés comme faisant partie de la population résidente du pays où ils travaillent. Parfois ces personnes envoient une partie de leurs revenus à des proches dans leur pays d’origine, mais ces transferts de fonds sont considérés comme des transferts entre des ménages résidents et des ménages non-résidents et sont enregistrés dans le revenu disponible national et non dans le revenu national.
Les revenus de la propriété provenant de/allant vers l’étranger comprennent les intérêts, les dividendes et tout ou partie des bénéfices non distribués des entreprises étrangères appartenant à des résidents (et vice et versa).
Dans la plupart des pays, la plus grande partie de la différence entre PIB et RNB s’explique par les revenus nets de la propriété reçus de l’étranger. Cependant, il est important de noter que les bénéfices non distribués des entreprises éttrangères détenues par des résidents ne reviennent pas en réalité au resident concerné. Néanmoins, les bénéfices non distribués sont enregistrés comme une ressource du revenu de la propriété. La contrepartie du même montant est traité comme transaction financière (un réinvestissement de revenus à l'etranger en actions et autres participations).
Dans la plupart des pays, la plus grande partie de la différence entre le PIB et RNB s'explique par les revenus nets de la propriété reçus de l'étranger. Cependant, il est important de noter que les bénéfices non distribués des entreprises étrangères appartenant à des résidents en fait ne reviennent pas aux résidents concernés. Néanmoins, les bénéfices non distribués sont enregistrés en reçus du revenu de la propriété. La contrepartie du même montant est considérée comme une transaction financière (un réinvestissement des bénéfices à l'étranger en actions et autres actifs).
Les pays qui effectuent de nombreux investissement directs à l'étranger vont donc dans certains cas apparaître comme des pays bénéficiant de revenus de la propriété importants et donc d'un RNB élevé. Cependant, dans les faits, une grande partie des revenus de la propriété ne vont pas revenir vers le pays d'origine et vont plutôt contribuer à l'investissement direct étranger.
Suite à l'introduction du SCN 2008, l'augmentation des niveaux du RNN sont plus modérés que ceux du PIB principalement parce que la RNN est ajustée pour l'amortissement. En effet, ces changements de niveaux plus modérés résultent du niveau plus élevés de la dépréciation elle-même induite par des niveaux des dépenses de R&D (recherche et développement) et du système d'armes plus élevés.
Comparabilité
La comparabilité est bonne, toutefois, il existe de nombreuses difficultés pratiques pour mesurer les flux internationaux de salaires et de rémunérations, les flux des revenus de la propriété ainsi que l’amortissement. C’est pour cette raison que le PIB par tête est le plus souvent utilisé comme indicateur des revenus ou du bien-être, bien que dans ce contexte il soit théoriquement inférieur au RNN ou RNB.