<br />Capacité/besoin de financement , Économie totale , Pourcentage du PIB
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Dans ce dataset, presque tous les pays de l'OCDE compilent leurs données suivant le Système de Comptabilité Nationale 2008 (SCN 2008).

Le lien vers le fichier "ANA_changes.xls" est disponible pour les utilisateurs, afin de fournir des informations quant à l'état d'avancement du changement vers le SCN 2008 des pays membres et non-membres.

Le guide du lecteur donne des informations générales sur le dataset et sur les critères retenus pour celui-ci.  

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On parle de capacité de financement si le montant est positif, et de besoin de financement si le montant est négatif. Ce poste reflète le montant des actifs financiers disponibles pour être prêtés, ou nécessaires pour emprunter, afin de financer toutes les dépenses (consommation, formation brute de capital, et transferts en capital) au-delà du revenu disponible. Pour comprendre son importance en tant que notion économique, il suffit de savoir que la capacité/besoin de financement constitue l’un des deux critères de déficit excessif figurant dans le Traité de Maastricht et utilisé par la Commission européenne pour apprécier la qualité et la viabilité des finances publiques.
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Définition

La capacité ou le besoin de financement peut être mesuré de la même façon en tant que solde comptable soit dans le compte de capital, soit dans le compte des opérations financières. On peut donc le calculer comme l'épargne moins les acquisitions plus les cessions d'actifs non financiers plus les transferts en capital à recevoir moins les transferts en capital à payer. Il est également possible de le mesurer comme la différence entre l'acquisition nette d'actifs financiers et l'accroissement net des passifs. Les actifs (et passifs) financiers comprennent l'or monétaire et les droits de tirage spéciaux, le numéraire et les dépôts, les titres de dette, les crédits, les actions et les parts de fonds d'investissement, les systèmes d'assurance, de pensions et garanties standard (y compris les droits des ménages sur les fonds de pensions, voir B8NS14_S15SB6NS14, Épargne nette des ménages), les produits financiers dérivés et les options sur titres des salaries et autres comptes à recevoir et à payer (par exemple les crédits commerciaux et avances).

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Bien que ce poste puisse être calculé selon l’une ou l’autre méthode, il est important de noter que dans la pratique, parvenir à cette équivalence est l’une des tâches les plus ardues de l’établissement des comptes nationaux.

Un autre élément mérite d’être souligné dans ce contexte : il s’agit des actifs ou passifs éventuels. Il existe de nombreux types d’accords financiers contractuels qui ne donnent pas lieu à une obligation inconditionnelle de procéder à des paiements ou de fournir d’autres valeurs. Ces « actifs ou passifs éventuels » ne sont pas comptabilisés en tant qu’actifs financiers dans le SCN. Si un événement se produit (or, par définition, un actif ou passif éventuel peut très bien ne pas se concrétiser) et que la survenue de cet événement entraîne par exemple des opérations sur actifs financiers, celles-ci sont comptabilisées selon la méthode habituelle. Une autorisation de découvert bancaire constitue un exemple simple d’actif ou passif éventuel. L’existence de l’autorisation de découvert ne crée pas forcément un actif (pour la banque) ou un passif (pour le titulaire du compte). En revanche, tout emprunt effectué ensuite en vertu de cette autorisation aura pour effet de créer un tel actif ou passif financier.

 

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<br />Capacité/besoin de financement , Économie totale , Pourcentage du PIBPersonne/organisation contact

Dans ce dataset, presque tous les pays de l'OCDE compilent leurs données suivant le Système de Comptabilité Nationale 2008 (SCN 2008).

Le lien vers le fichier "ANA_changes.xls" est disponible pour les utilisateurs, afin de fournir des informations quant à l'état d'avancement du changement vers le SCN 2008 des pays membres et non-membres.

Le guide du lecteur donne des informations générales sur le dataset et sur les critères retenus pour celui-ci.  

Guide du lecteurhttps://stats.oecd.org/wbos/fileview2.aspx?IDFile=1ea5d9a9-d8fe-4e4b-92c6-58be3bebf09eANA_changeshttps://stats.oecd.org/wbos/fileview2.aspx?IDFile=a93cfcc9-df92-4d84-be64-58fd6d788737 Autres caractéristiques des données
On parle de capacité de financement si le montant est positif, et de besoin de financement si le montant est négatif. Ce poste reflète le montant des actifs financiers disponibles pour être prêtés, ou nécessaires pour emprunter, afin de financer toutes les dépenses (consommation, formation brute de capital, et transferts en capital) au-delà du revenu disponible. Pour comprendre son importance en tant que notion économique, il suffit de savoir que la capacité/besoin de financement constitue l’un des deux critères de déficit excessif figurant dans le Traité de Maastricht et utilisé par la Commission européenne pour apprécier la qualité et la viabilité des finances publiques.
Concept statistique principal

Définition

La capacité ou le besoin de financement peut être mesuré de la même façon en tant que solde comptable soit dans le compte de capital, soit dans le compte des opérations financières. On peut donc le calculer comme l'épargne moins les acquisitions plus les cessions d'actifs non financiers plus les transferts en capital à recevoir moins les transferts en capital à payer. Il est également possible de le mesurer comme la différence entre l'acquisition nette d'actifs financiers et l'accroissement net des passifs. Les actifs (et passifs) financiers comprennent l'or monétaire et les droits de tirage spéciaux, le numéraire et les dépôts, les titres de dette, les crédits, les actions et les parts de fonds d'investissement, les systèmes d'assurance, de pensions et garanties standard (y compris les droits des ménages sur les fonds de pensions, voir B8NS14_S15SB6NS14, Épargne nette des ménages), les produits financiers dérivés et les options sur titres des salaries et autres comptes à recevoir et à payer (par exemple les crédits commerciaux et avances).

Autres manipulations

Bien que ce poste puisse être calculé selon l’une ou l’autre méthode, il est important de noter que dans la pratique, parvenir à cette équivalence est l’une des tâches les plus ardues de l’établissement des comptes nationaux.

Un autre élément mérite d’être souligné dans ce contexte : il s’agit des actifs ou passifs éventuels. Il existe de nombreux types d’accords financiers contractuels qui ne donnent pas lieu à une obligation inconditionnelle de procéder à des paiements ou de fournir d’autres valeurs. Ces « actifs ou passifs éventuels » ne sont pas comptabilisés en tant qu’actifs financiers dans le SCN. Si un événement se produit (or, par définition, un actif ou passif éventuel peut très bien ne pas se concrétiser) et que la survenue de cet événement entraîne par exemple des opérations sur actifs financiers, celles-ci sont comptabilisées selon la méthode habituelle. Une autorisation de découvert bancaire constitue un exemple simple d’actif ou passif éventuel. L’existence de l’autorisation de découvert ne crée pas forcément un actif (pour la banque) ou un passif (pour le titulaire du compte). En revanche, tout emprunt effectué ensuite en vertu de cette autorisation aura pour effet de créer un tel actif ou passif financier.

 

Utilisations recommandées et limitations

Comparabilité

D'une manière générale, la comparabilité des statistiques portant sur la capacité ou le besoin de financement est bonne, en particulier pour les pays de l'UE. Cela dit, la difficulté que les pays ont à rapprocher les deux méthodes de mesure donne une indication sur la prudence requise. C'est peut-être au niveau sectoriel que la comparabilité, ou plutôt la prudence nécessaire lors de l'interprétation des données entre pays, pose le plus de problèmes. Là encore, il ne s'agit pas au fond d'une question de différences d'ordre conceptuel, mais de différences réelles entre les catégories d'établissements inclus dans les  secteurs institutionnels : par exemple, dans certains pays, les hôpitaux ne sont pas inclus dans les administrations publiques - voir aussi B6GS14_S15HCPC, Revenu disponible brut des ménages par tête.

Après la réunification allemande, la propriété des unités économiques de l'ancienne République démocratique allemande (RDA) a été transférée à une nouvelle entité publique appelée 'Deutsche Treuhand'. Cette entité a été démantelée en 1995 et le gouvernement fédéral allemand a dû en assumer la dette. Dans les comptes nationaux, ce montant a été traité comme un transfert en capital des administrations publiques (S13) vers les sociétés non-financières (S11).

<Body /><Link><Title>2008 SCNhttps://stats.oecd.org/wbos/fileview2.aspx?IDFile=950dbb7a-a71a-4fe9-9f20-bb685d6819de Bibliographiehttps://stats.oecd.org/wbos/fileview2.aspx?IDFile=18cb9853-3590-4874-b519-94ab35940462